D’après Les Histoires Comme Ça de Rudyard Kipling

Trois « Histoires Comme Ça », où l’on retrouve le plaisir et la pétillance de ces conteurs africains qui ne peuvent s’empêcher de rire ou de trembler à leurs propres récits, et chez qui le geste est plus important que le mot.

Leurs mains-oiseaux, mi-jeu d’enfant, mi-envoûtement magique, enluminent l’histoire et en décuplent la poésie et l’étrange. D’un pot de terre ou d’un morceau de bois, ils font jaillir une musique qui est celle de la terre brûlante, du danger tapi dans les hautes herbes, de la lancinante crécelle des grillons, de la chaleur épaisse après la pluie.

Dans un décor fait de plaquettes de bois, comme un jeu de construction géant, la musique, les mains, les images et même le silence parlent.